Dans l'univers béninois de l'enseignement supérieur
privé
Le lundi 15 août 2016
s’est déroulée, au siège de l’Institut ’’Cerco’’, du quartier Sikécodji, à
Cotonou, une conférence de presse animée par le Président-Directeur général de
l’institution universitaire, Alain Capo-Chichi. Il s’agissait pour cette
personnalité de rejeter, avec une grande véhémence et une forte conviction, les
allégations ayant contribué à répandre du discrédit sur l’université privée
dont il assure l’administration et la gestion, ce qui a permis, d’une part, de
remettre en lumière les atouts d’un joyau béninois et, d’autre part, de
rassurer résolument les parents d’étudiants.
Alain Capo-Chichi, au cours de la conférence de presse, s'est voulu très rassurant à l'endroit des parents d'étudiants |
« Il n’y a pas péril
en la demeure ; ’’Cerco’’ fait partie des établissements modernes au Bénin
et détient15 diplômes co-signés par le Ministère de l’Enseignement supérieur et
de la recherche scientifique (Mesrs) ! » Ainsi s’est exclamé Alain
Capo-Chichi, Président-Directeur général de l’Institut ’’Cerco’’, au cours de
la conférence de presse à laquelle il a convié les professionnels des médias,
en cette fraîche matinée de l’Assomption, ce lundi 15 août 2016, au siège de
l’université privée. A en croire les propos de l’orateur, après 17 ans
d’existence, l’Institut ’’Cerco’’ capitalise un nombre impressionnant d’acquis
sur un fondement de statistiques précises : 3020 étudiants diplômés avec
moins de 200 d’entre eux n’ayant pas encore trouvé un emploi. Un exploit dû, selon
Alain Capo-Chichi, au suivi de l’Institut ’’Cerco’’ concernant l’insertion
professionnelle de ces apprenants lorsqu’ils arrivent en fin de cycle, de même
qu’à leur édification en capacités entrepreneuriales et en management.
Voilà une institution
universitaire très imposante que ses dirigeants ont conformée aux conditions
draconiennes de reconnaissance par l’Etat béninois : « Une école
d’enseignement supérieur peut être autorisée au Bénin et, cela suit des
principes », commentera-t-il, à ce propos. En outre, l’Institut ’’Cerco’’
a été décrit par son promoteur comme une superstructure disposant d’un grand
nombre de commodités pour y faciliter l’épanouissement intellectuel des
apprenants : un propre siège d’une valeur d’1 milliard 500 millions de
Francs Cfa, doté d’un ascenseur et d’équipements sacrifiant aux normes
internationales et qui, aujourd’hui, étend ses ramifications dans des pays
comme la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso, la France et la Chine, ce dernier
pays, première puissance économique mondiale dont l’une des universités
ouvrira, en septembre 2016, un Département d’enseignement dans l’université
privée indiquée. « Sans une qualité de formation, il ne peut y avoir de ces
possibilités », avoue-t-il, en toute modestie. C’est ainsi que, devant les
intoxications dont il a personnellement été victime par une certaine presse et
qui ont tenté de ternir l’éclat de réalisations aussi éloquentes et pertinentes
au niveau de l’Institut ’’Cerco’’, Alain Capo-Chichi a profité de la conférence
de presse pour convier les parents d’étudiants à prendre part aux Journées
’’Portes ouvertes’’, organisées à leur intention, les 19 et 20 août 2016, pour
leur permettre de découvrir, de leur propre chef, le caractère prestigieux et
rassurant de l’Université privée figurant sur la liste de reconnaissance
publiée par le Ministère de l’Enseignement supérieur du Bénin.
Marcel Kpogodo
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