Sur la persécution des Daagbovi
Le presbytère de la Mission de Banamè à Godomey a
servi de cadre, le dimanche 26 janvier 2014, à un point de presse donné par la
Cellule de communication concernant l'acharnement dont sont victimes les
Daagbovi, depuis un bon moment. Il s'en est suivi la publication d'un
communiqué.
Le point de presse a donné lieu à une déclaration
retraçant les fondements de la Mission de Banamè et les exactions dont les
fidèles de l'Eglise Catholique de Jésus-Christ sont victimes. A cet effet, face
aux professionnels des médias, en cet après-midi du dimanche 26 janvier 2014,
il y avait des personnalités importantes de la Mission de Banamè. Autour de Son
Eminence Jean Cardinal Viatonou, Vice-Chancelier, Secrétaire du Pape Christophe
XVIII et Chargé de communication adjoint, on trouvait Son Eminence Judas
Cardinal Orékan, Chargé des oeuvres sociales de la Mission de Banamè,
Monseigneur Jean-Clavaire Houndagnon, Evêque de Porto-Novo et Président de la
Conférence Episcopale, Monseigneur Alexandre Fassinou, Evêque d'Allada,
Monseigneur Comlan Léon Adjoulouvi, Evêque de Daasa et de Parakou. Dans le
public, on trouvait aussi des prêtres et des sœurs religieuses.
Marcel Kpogodo
Eglise Catholique Banamè, le 26 janvier 2014
Mission de Banamè
Cité du Vatican
Secrétairerie d’Etat
pontificale
Communiqué
Mesdames, Mesdemoiselles,
Messieurs, Chers Daagbovi et personnes de bonne volonté, Chers tous !
Merci d’être venus à ce point de presse qui aborde un sujet d’actualité afin d’éclairer
l’opinion publique sur ce que nous appelons la Mission de Banamè, une Mission
qui rencontre, aujourd’hui, à tort, l’hostilité de plus en plus grandissante de
ceux qui n’y comprennent rien ou qui, pour des raisons dérisoires, la rejettent.
Qu’est-ce
que la Mission de Banamè ?
Vous n’êtes pas sans
savoir que, depuis 2009, un événement inédit se produit dans notre pays et fait
couler beaucoup d’encre et de salive. Dieu a pris chair au Bénin, et plus
précisément dans la région d’Agonli, à Banamè, comme ce fut déjà annoncé dans
les messages que la Vierge Marie a donnés aux enfants de Fatima en 1917. Tous
ceux qui ont commerce avec le monde invisible des entités sont bien convaincus
de cette vérité.
Il s’agit absolument de
Dieu trois fois saint, Créateur du Ciel et de la terre et de tout ce qui
existe, Dieu d’Abraham, d’Issac, de Jacob, Dieu des Patriarches et de tous les
prophètes dont nous connaissons l’histoire par la Bible, Dieu Esprit-Saint,
Daagbo, Père de Jésus-Christ, et Epoux de la Vierge Marie, Dieu de tous les
Saints, Dieu de Banamè. C’est Lui le seul qui a envoyé son Fils Jésus-Christ
font l’Eglise quand les temps furent accomplis. Aujourd’hui, il revient
Lui-même, pour restaurer l’Eglise de son Fils et préparer le monde au retour
déjà très imminent de notre Seigneur Jésus-Christ.
Cette mission de restauration de l’Eglise et de
toute la Création a déjà été annoncée dans la Bible de différentes manières par
les prophètes et le Christ Lui-même. L’Evangile de Saint Mathieu en son
chapitre 24, l’Apocalypse de Saint Jean, la deuxième épitre de Saint Paul aux
Thessaloniciens, et les prophètes de l’Ancien Testament, à savoir Isaïe,
Ezéchiel, Daniel et les autres, ont parlé de ce retour du Messie et de la venue
de l’Esprit-Saint parmi les hommes.
Cette Mission de Banamè
s’articule autour de trois points principaux :
v Détruire
Belzébul (l’archange déchu) et tout ce qui se rapport à son royaume en l’occurrence
ma sorcellerie.
v Faire
revenir à l’unité de l’Eglise Catholique de Jésus-Christ, la véritable, tous
les hommes rachetés au prix de son sang.
v Aseptiser
l’Eglise Catholique des pasteurs sorciers, francs-maçons et de tous ceux qui œuvrent
contre Jésus-Christ dans l’Eglise.
Les
œuvres de Banamè
Pour réaliser ces
objectifs, Dieu Esprit-Saint, Daagbo accomplit de nombreuses œuvres dont voici
un aperçu.
Au
plan spirituel :
- - Calcination de la sorcellerie et des
esprits mauvais ;
- - Guérison de toutes sortes de maladies
même reconnues incurables et d’origine douteuse (cancer, sida, tension, …) ;
- - Résurrection de morts ;
- - Immunité à vie contre la sorcellerie et
les maléfices par simple pèlerinage sur la Sainte Colline de Banamè Sovidji ;
- - Déblocage de toute situation liée à la
sorcellerie.
Au
plan social :
- - Réduction sensible de la pauvreté et du
chômage ;
- - Régression des accidents de circulation
par le simple port du chapelet de combat (petit chapelet à 9 grains) ;
- - Réintégration sociale des enfants
délivrés de la sorcellerie, des enfants abandonnés, des orphelins ;
- - Education des enfants rejetés par la
société ;
- - Réunification des familles ;
- - Libération et restauration des ménages
minés par la sorcellerie ;
- - Récession de la conjoncture économique
liée à la sorcellerie ;
- - Regain de la vraie foi et de la
confiance en Dieu.
Au
plan ecclésial :
-
Refondation par Dieu le Père Lui-même de
l’Eglise Catholique de Son Fils Jésus-Christ, la véritable, à travers :
·
Le choix de la Sainte Colline Sovidji de
Banamè qui est la réalisation de l’antique promesse que Dieu le Père avait faite
Lui-même par la bouche des prophètes en l’occurrence Ezéchiel en son chapitre
36 versets 23-28 ;
·
L’originalité et la pureté des
enseignements de Daagbo (Dieu Esprit-Saint) où tous les pèlerins qui viennent
du monde entier y reconnaissent facilement l’œuvre de la Sagesse incarnée ;
·
L’émergence d’une nouvelle hiérarchie
dans la vraie Eglise de Jésus-Christ pour tenir sa promesse : « Je
vous donnerai des pasteurs selon mon cœur » ;
·
L’élection et le couronnement du Père Mathias
VIGAN comme Pape Christophe XVIII, Vicaire de Dieu Eprit-Saint, ainsi que l’a
prédit Anna Maria TAÏGI en 1818 ;
·
L’élévation à la dignité cardinaliste de
douze (12) Apôtres de l’Esprit-Saint comme collaborateurs du Souverain pontife
dans la mission d’administration de l’Eglise catholique de Jésus-Christ ;
·
Le sacre de huit (8) Evêques chargés de
l’administration des églises particulières ;
·
L’ordination d’une centaine de prêtres
comme collaborateurs des Evêques dans la mission et la conduite des âmes ;
·
La consécration de trois ordres de
religieuses.
Au moment où ces
dispositions célestes apportent un supplément d’être et de vie à tous ceux qui
se rendent sur la Sainte Colline, elles suscitent des réactions de tourmentés
chez d’autres pour des raisons curieuses.
Les
agressions contre Banamè
Ainsi, de 2009 à ce
jour, moult agressions ont été perpétrées contre Banamè. En voici quelques-unes :
-
Diabolisation gratuite de Dieu le Père
en chair par le clergé catholique romain ;
- - Arrestation et détention arbitraires de
fidèles de Banamè pour raison de port de chapelet de combat à l’Eglise ;
acte commandité et soutenu par le clergé romain ;
- - Actes de vandalisme sur les lieux de
culte des fidèles de Banamè à Zakpota et à Sokpadèli ;
- - L’expédition militaire commanditée sur
Banamè par le Préfet Nouatin en 2011 au prétexte que les prières des fidèles de
Banamè sur la Sainte Colline, pourraient engendrer un trouble à l’ordre public
à Cotonou, située à 170 km, lors de la venue de Benoît XVI au Bénin ;
- - Agression des Daagbovi, sous l’instigation
d’un prêtre catholique romain à Louho à l’entame d’une célébration
eucharistique, alors que toutes les autorisations administratives requises
étaient déjà obtenues ;
- - Agression des Daagbovi par les fidèles
de l’église catholique romaine sous l’instigation d’un prêtre catholique
romain, à Glazoué ;
- - Toujours à Glazoué, menace contre Son
Eternité, Daagbo, Dieu Esprit-Saint, par le Préfet du Zou et des Collines, qui
a promis de s’emparer de « Dame Parfaite » si jamais elle osait parler des fétiches. Mais l’instinct
de survie l’en a dissuadé ;
- - Arrestation arbitraire, à des fins
électoralistes, garde-à-vue abusive (6 jours) et détention illégale des prêtres
et fidèles de Banamè, pour des motifs non réels, sur propre initiative du maire
de Zagnanado ;
- - A Abomey, le préfet, dans un abus de
pouvoir, a empêché les Daagbovi d’accéder au terrain du stade de Goho sous
prétexte d’un éventuel trouble à l’ordre public entre Daagbovi et vodounon,
alors que toutes les formalités administratives étaient remplies pour la cause ;
- - Agression et tentative d’assassinat
contre l’Evêque d’Abomey, Monseigneur Gabriel HONHE et les Daagbovi à Abomey, à
Adandokpodji, en pleine célébration eucharistique ;
- - Les agressions morales répétées de toute
nature de la part des dignitaires de l’église catholique romaine, à travers
leur journal ’’La croix du Bénin’’ ;
- - La proclamation de la mort de Daagbo par
un prêtre de l’église catholique romaine, et relayée par les mass media ;
- - L’irrévérence inadmissible du sieur Adam
Abib dit Owo-Lobè, qui radote à temps et à contre-temps, des insanités sur
Banamè et qui s’est donné le pouvoir de mettre une croix sur la photo de Dieu,
avec la mention, « Stop démon ! »
- - Agression tous azimuts des Daagbovi au
marché Dantokpa et partout ;
- - A l’occasion de toutes ces agressions,
toutes les plaintes formulées par les Daagbovi n’ont jamais reçu de suite
favorable.
Mise
en demeure
Lorsque nous nous
arrêtons à ces quelques cas ci-dessus cités, il ressort que Banamè subit des
agressions injustes et des acharnements passionnés. Banamè a jusque-là enduré,
dans le silence, des opprobres, des humiliations, des calomnies, de la haine,
sans pouvoir se faire justice.
Cette situation d’injustice
et d’oppression ne demeurera pas éternelle. C’est à cause la miséricorde de
Daagbo que tous connaissent que ces injustices ont perduré jusqu’à ce jour. L’orgueil
que nous connaissons du démon n’a pas de patience. La patience de Banamè finira
un jour.
Banamè souhaite
beaucoup de courage à tous les vodounon soutenus par les dignitaires de l’église
catholique romaine et les politiciens qui s’apprêtent à marcher contre Dieu le
Père, le lundi 27 janvier à Abomey, sans motif juste, et leur rappelle, par la
même occasion, que les pharaons d’Egypte, les habitants de Sodome et de
Gomorrhe en avaient fait autant et y avaient tous péri. Et puisque les mêmes
causes produisent toujours les mêmes effets, l’histoire va se répéter car Dieu
ne change pas. Son omnipuissance ne s’altère pas avec le temps.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire