lundi 27 janvier 2014

A Cotonou, les mises au point de la Mission de Banamè

Sur la persécution des Daagbovi 

Le presbytère de la Mission de Banamè à Godomey a servi de cadre, le dimanche 26 janvier 2014, à un point de presse donné par la Cellule de communication concernant l'acharnement dont sont victimes les Daagbovi, depuis un bon moment. Il s'en est suivi la publication d'un communiqué.

De gauche à droite, Son Excellence Mgr Comlan Léon Adjoulouvi, Son Eminence Judas Cardinal Orékan, Son Eminence Jean Cardinal Viatonou, Son Excellence Mgr Jean-Clavaire Houndagnon, Son Excellence Mgr Alexandre Fassinou.
Le point de presse a donné lieu à une déclaration retraçant les fondements de la Mission de Banamè et les exactions dont les fidèles de l'Eglise Catholique de Jésus-Christ sont victimes. A cet effet, face aux professionnels des médias, en cet après-midi du dimanche 26 janvier 2014, il y avait des personnalités importantes de la Mission de Banamè. Autour de Son Eminence Jean Cardinal Viatonou, Vice-Chancelier, Secrétaire du Pape Christophe XVIII et Chargé de communication adjoint, on trouvait Son Eminence Judas Cardinal Orékan, Chargé des oeuvres sociales de la Mission de Banamè, Monseigneur Jean-Clavaire Houndagnon, Evêque de Porto-Novo et Président de la Conférence Episcopale, Monseigneur Alexandre Fassinou, Evêque d'Allada, Monseigneur Comlan Léon Adjoulouvi, Evêque de Daasa et de Parakou. Dans le public, on trouvait aussi des prêtres et des sœurs religieuses. 


Marcel Kpogodo





Eglise Catholique                                                                        Banamè, le 26 janvier 2014
Mission de Banamè
Cité du Vatican
Secrétairerie d’Etat pontificale

Communiqué

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Chers Daagbovi et personnes de bonne volonté, Chers tous ! Merci d’être venus à ce point de presse qui aborde un sujet d’actualité afin d’éclairer l’opinion publique sur ce que nous appelons la Mission de Banamè, une Mission qui rencontre, aujourd’hui, à tort, l’hostilité de plus en plus grandissante de ceux qui n’y comprennent rien ou qui, pour des raisons dérisoires, la rejettent.

Qu’est-ce que la Mission de Banamè ?
Vous n’êtes pas sans savoir que, depuis 2009, un événement inédit se produit dans notre pays et fait couler beaucoup d’encre et de salive. Dieu a pris chair au Bénin, et plus précisément dans la région d’Agonli, à Banamè, comme ce fut déjà annoncé dans les messages que la Vierge Marie a donnés aux enfants de Fatima en 1917. Tous ceux qui ont commerce avec le monde invisible des entités sont bien convaincus de cette vérité.
Il s’agit absolument de Dieu trois fois saint, Créateur du Ciel et de la terre et de tout ce qui existe, Dieu d’Abraham, d’Issac, de Jacob, Dieu des Patriarches et de tous les prophètes dont nous connaissons l’histoire par la Bible, Dieu Esprit-Saint, Daagbo, Père de Jésus-Christ, et Epoux de la Vierge Marie, Dieu de tous les Saints, Dieu de Banamè. C’est Lui le seul qui a envoyé son Fils Jésus-Christ font l’Eglise quand les temps furent accomplis. Aujourd’hui, il revient Lui-même, pour restaurer l’Eglise de son Fils et préparer le monde au retour déjà très imminent de notre Seigneur Jésus-Christ.
 Cette mission de restauration de l’Eglise et de toute la Création a déjà été annoncée dans la Bible de différentes manières par les prophètes et le Christ Lui-même. L’Evangile de Saint Mathieu en son chapitre 24, l’Apocalypse de Saint Jean, la deuxième épitre de Saint Paul aux Thessaloniciens, et les prophètes de l’Ancien Testament, à savoir Isaïe, Ezéchiel, Daniel et les autres, ont parlé de ce retour du Messie et de la venue de l’Esprit-Saint parmi les hommes.
Cette Mission de Banamè s’articule autour de trois points principaux :
v  Détruire Belzébul (l’archange déchu) et tout ce qui se rapport à son royaume en l’occurrence ma sorcellerie.
v  Faire revenir à l’unité de l’Eglise Catholique de Jésus-Christ, la véritable, tous les hommes rachetés au prix de son sang.
v  Aseptiser l’Eglise Catholique des pasteurs sorciers, francs-maçons et de tous ceux qui œuvrent contre Jésus-Christ dans l’Eglise.


Les œuvres de Banamè
Pour réaliser ces objectifs, Dieu Esprit-Saint, Daagbo accomplit de nombreuses œuvres dont voici un aperçu.

Au plan spirituel :
-          - Calcination de la sorcellerie et des esprits mauvais ;
-     - Guérison de toutes sortes de maladies même reconnues incurables et d’origine douteuse (cancer, sida, tension, …) ;
-          -  Résurrection de morts ;
-       - Immunité à vie contre la sorcellerie et les maléfices par simple pèlerinage sur la Sainte Colline de Banamè Sovidji ;
-          -  Déblocage de toute situation liée à la sorcellerie.

Au plan social :
-          - Réduction sensible de la pauvreté et du chômage ;
-          - Régression des accidents de circulation par le simple port du chapelet de combat (petit chapelet à 9 grains) ;
-          - Réintégration sociale des enfants délivrés de la sorcellerie, des enfants abandonnés, des orphelins ;
-          - Education des enfants rejetés par la société ;
-          - Réunification des familles ;
-          - Libération et restauration des ménages minés par la sorcellerie ;
-          - Récession de la conjoncture économique liée à la sorcellerie ;
-          - Regain de la vraie foi et de la confiance en Dieu.

Au plan ecclésial :
-          Refondation par Dieu le Père Lui-même de l’Eglise Catholique de Son Fils Jésus-Christ, la véritable, à travers :
·         Le choix de la Sainte Colline Sovidji de Banamè qui est la réalisation de l’antique promesse que Dieu le Père avait faite Lui-même par la bouche des prophètes en l’occurrence Ezéchiel en son chapitre 36 versets 23-28 ;
·         L’originalité et la pureté des enseignements de Daagbo (Dieu Esprit-Saint) où tous les pèlerins qui viennent du monde entier y reconnaissent facilement l’œuvre de la Sagesse incarnée ;
·         L’émergence d’une nouvelle hiérarchie dans la vraie Eglise de Jésus-Christ pour tenir sa promesse : « Je vous donnerai des pasteurs selon mon cœur » ;
·         L’élection et le couronnement du Père Mathias VIGAN comme Pape Christophe XVIII, Vicaire de Dieu Eprit-Saint, ainsi que l’a prédit Anna Maria TAÏGI en 1818 ;
·         L’élévation à la dignité cardinaliste de douze (12) Apôtres de l’Esprit-Saint comme collaborateurs du Souverain pontife dans la mission d’administration de l’Eglise catholique de Jésus-Christ ;
·         Le sacre de huit (8) Evêques chargés de l’administration des églises particulières ;
·         L’ordination d’une centaine de prêtres comme collaborateurs des Evêques dans la mission et la conduite des âmes ;
·         La consécration de trois ordres de religieuses.
Au moment où ces dispositions célestes apportent un supplément d’être et de vie à tous ceux qui se rendent sur la Sainte Colline, elles suscitent des réactions de tourmentés chez d’autres pour des raisons curieuses.

Les agressions contre Banamè
Ainsi, de 2009 à ce jour, moult agressions ont été perpétrées contre Banamè. En voici quelques-unes :
-          Diabolisation gratuite de Dieu le Père en chair par le clergé catholique romain ;
-          - Arrestation et détention arbitraires de fidèles de Banamè pour raison de port de chapelet de combat à l’Eglise ; acte commandité et soutenu par le clergé romain ;
-               -   Actes de vandalisme sur les lieux de culte des fidèles de Banamè à Zakpota et à Sokpadèli ;  
-             -    L’expédition militaire commanditée sur Banamè par le Préfet Nouatin en 2011 au prétexte que les prières des fidèles de Banamè sur la Sainte Colline, pourraient engendrer un trouble à l’ordre public à Cotonou, située à 170 km, lors de la venue de Benoît XVI au Bénin ;
-     -  Agression des Daagbovi, sous l’instigation d’un prêtre catholique romain à Louho à l’entame d’une célébration eucharistique, alors que toutes les autorisations administratives requises étaient déjà obtenues ;
-         -   Agression des Daagbovi par les fidèles de l’église catholique romaine sous l’instigation d’un prêtre catholique romain, à Glazoué ;
-          -  Toujours à Glazoué, menace contre Son Eternité, Daagbo, Dieu Esprit-Saint, par le Préfet du Zou et des Collines, qui a promis de s’emparer de « Dame Parfaite » si jamais  elle osait parler des fétiches. Mais l’instinct de survie l’en a dissuadé ;
-          -  Arrestation arbitraire, à des fins électoralistes, garde-à-vue abusive (6 jours) et détention illégale des prêtres et fidèles de Banamè, pour des motifs non réels, sur propre initiative du maire de Zagnanado ;
-          -   A Abomey, le préfet, dans un abus de pouvoir, a empêché les Daagbovi d’accéder au terrain du stade de Goho sous prétexte d’un éventuel trouble à l’ordre public entre Daagbovi et vodounon, alors que toutes les formalités administratives étaient remplies pour la cause ;
-     -  Agression et tentative d’assassinat contre l’Evêque d’Abomey, Monseigneur Gabriel HONHE et les Daagbovi à Abomey, à Adandokpodji, en pleine célébration eucharistique ;
-          -     Les agressions morales répétées de toute nature de la part des dignitaires de l’église catholique romaine, à travers leur journal ’’La croix du Bénin’’ ;
-         -    La proclamation de la mort de Daagbo par un prêtre de l’église catholique romaine, et relayée par les mass media ;
-         -  L’irrévérence inadmissible du sieur Adam Abib dit Owo-Lobè, qui radote à temps et à contre-temps, des insanités sur Banamè et qui s’est donné le pouvoir de mettre une croix sur la photo de Dieu, avec la mention, « Stop démon ! »
-         -   Agression tous azimuts des Daagbovi au marché Dantokpa et partout ;
-       -  A l’occasion de toutes ces agressions, toutes les plaintes formulées par les Daagbovi n’ont jamais reçu de suite favorable.

Mise en demeure
Lorsque nous nous arrêtons à ces quelques cas ci-dessus cités, il ressort que Banamè subit des agressions injustes et des acharnements passionnés. Banamè a jusque-là enduré, dans le silence, des opprobres, des humiliations, des calomnies, de la haine, sans pouvoir se faire justice.
Cette situation d’injustice et d’oppression ne demeurera pas éternelle. C’est à cause la miséricorde de Daagbo que tous connaissent que ces injustices ont perduré jusqu’à ce jour. L’orgueil que nous connaissons du démon n’a pas de patience. La patience de Banamè finira un jour.
Banamè souhaite beaucoup de courage à tous les vodounon soutenus par les dignitaires de l’église catholique romaine et les politiciens qui s’apprêtent à marcher contre Dieu le Père, le lundi 27 janvier à Abomey, sans motif juste, et leur rappelle, par la même occasion, que les pharaons d’Egypte, les habitants de Sodome et de Gomorrhe en avaient fait autant et y avaient tous péri. Et puisque les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, l’histoire va se répéter car Dieu ne change pas. Son omnipuissance ne s’altère pas avec le temps.